Home Psychologie Tout ce que tu dois savoir sur ceux qui aiment râler

Tout ce que tu dois savoir sur ceux qui aiment râler

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Tout ce que tu dois savoir sur ceux qui aiment râler

[vc_row][vc_column][vc_column_text]On doit tous avoir dans notre entourage, familial, amical ou professionnel, quelqu’un qui râle quotidiennement. Ma grand-mère était comme ça, mon chéri l’est aussi, même mes chats râlent tout le temps et ça me rend folle.
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]J’ai tendance à être une râleuse, mais à petite dose, tandis que Chéri est un grand râleur. Il me soutient que ça lui permet d’évacuer une partie du stress et que c’est une bonne chose de râler, pour le corps et le mental. Mais j’ai lu qu’au contraire, râler est nocif.

Alors qu’en est-il ? Bonne ou mauvaise chose d’être un râleur pathologique ?
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][ultimate_heading main_heading= »Raler rend malade physiquement » alignment= »left »][/ultimate_heading][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Une étude de l’Université de Stanford révèle en effet, que se plaindre quotidiennement peut créer des problèmes de santé.

En effet, comme je le disais, au moment où on râle, on a l’impression d’évacuer une partie du stress. Or notre cerveau comprend le message inverse. Et comme il aime la routine (oui ton cerveau est comme toi, il aime la simplicité et la routine !) il aura tendance à reproduire les plaintes et les complaintes.Et il lui sera alors plus facile d’être négatif que positif.[/vc_column_text][vc_column_text]De plus, d’un point cérébral, râler provoque des dommages à l’hippocampe (pas l’animal, mais la zone du cerveau qui gère l’intelligence et la résolution des problèmes).[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]râler : l'autre hippocampe[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]râler effet sur l'hippocampe[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_empty_space][vc_column_text]Sachant que l’hippocampe est la zone attaquée par la maladie d’Alzheimer… autant réfléchir à 2 fois avant de se plaindre. Hein Chéri ?!![/vc_column_text][vc_column_text]Enfin, en plus de l’effet sur le cerveau, le fait de râler fait sécréter au corps une hormone qui s’appelle le cortisol. Cette hormone est normalement libérée en cas de stress intense, d’urgence totale. Afin de pouvoir faire face à ce que le corps pense être une menace grave, le cortisol pompe donc l’oxygène, l’énergie et le sang du corps.
La sécrétion de cortisol fait aussi augmenter le taux de sucre dans le sang, la pression artérielle, favorise l’apparition de cholestérol, du diabète, l’obésité et les maladies cardio-vasculaire.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][ultimate_heading main_heading= »Raler augmente l’espérance de vie » alignment= »left »][/ultimate_heading][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]A l’opposé de l’Université de Stanford, les chercheurs de l’Université d’Ilena soutiennent la théorie selon laquelle râler permet d’extérioriser le stress ressenti. L’expérience faite sur 6000 personnes indique que les râleurs seraient ainsi moins sujets aux problèmes cardiaques, à l’hyper-tension, voire même aux cancers.
[/vc_column_text][vc_column_text]En effet, face à une situation de stress, les râleurs qui n’hésitent pas à verbaliser ouvertement ce qu’ils pensent, auraient un pouls moins élevé que ceux qui intériorisent (mais qui n’en ressentent pas moins).[/vc_column_text][vc_column_text]En appui de cette thèse, les italiens et les espagnols, connus pour avoir le sang-chaud, vivraient 2 ans de plus que les flegmatiques britanniques. [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]En conclusion, il semble que la bonne humeur reste la meilleur attitude à avoir, réduisant ainsi les hormones de la colère. Mais lorsque la frustration se fait ressentir, il est préférable de l’extérioriser que de l’intérioriser. Il ne faut juste pas que cette attitude devienne un état d’être. C’est en tout cas, l’avis de Michel Lejoyeux, professeur de psychiatrie et auteur de « Changer …. en mieux : les 10 chemins du changement positif. »
Dire les choses contrariantes est une manière de demander du changement, de faire face à ce qui dérange, encore faut-il se plaindre auprès de la bonne personne et de ne pas inonder son entourage de râleries parfois futiles.

Enfin, l’important est de trouver un équilibre : râler est certes un moyen d’améliorer les choses, mais il ne faut pas faire le faire avec excès pour pas polluer la bulle de bien être de son entourage. L’équilibre est parfois difficile à atteindre.
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